Le conte musical Les Horloges plaira aux parents désireux de développer l’univers musical de leurs enfants, ainsi qu’au corps enseignant. Il s’adresse aussi à tous les mélomanes et tous les arpenteurs de l’imaginaire. L’audition de l’oeuvre par un panel de personnes d’âges différents a en effet montré que petits et grands l’apprécient,
Le conte musical Les Horloges plaira aux parents désireux de développer l’univers musical de leurs enfants, ainsi qu’au corps enseignant. Il s’adresse aussi à tous les mélomanes et tous les arpenteurs de l’imaginaire.
chacun y portant de l’intérêt à son niveau. La richesse des paroles et de la musique (les connaisseurs y retrouveront des influences de groupes tels que Pink Floyd, Love ou encore les Beatles) permet de renouveler les écoutes et de découvrir, à chaque fois, de nouveaux détails.
L’audition de l’oeuvre par un panel de personnes d’âges différents a en effet montré que petits et grands l’apprécient, chacun y portant de l’intérêt à son niveau. La richesse des paroles et de la musique (les connaisseurs y retrouveront des influences de groupes tels que Pink Floyd, Love ou encore les Beatles) permet de renouveler les écoutes et de découvrir, à chaque fois, de nouveaux détails.
À 8 ans, Philippe prend des cours de violon. À 11 ans, il tombe sur le vinyle de The Wall de Pink Floyd et se passionne pour les albums des Beatles. Avec quelques amis du lycée, il fonde un premier groupe. Il suit des cours de guitare avec Jean-Pierre Pasquier à l’EJMA (Ecole de Jazz et de Musique Actuelle) de Lausanne et s’initie aussi à d’autres instruments comme le piano, et la batterie. Avec ses amis du lycée, il fonde le groupe Outsyde Inn qui produira un disque apprécié par les fans de garage rock. Plus récemment, il a l’idée de créer un album qu’il veut magique et porté sur le rêve : c’est alors qu’il crée les premières maquettes sans paroles de ce qui deviendra Les Horloges.
Gilles développe un goût précoce pour la musique et signe, dès l’âge de 6 ans, ses propres compositions qu’il accompagne au piano puis à la guitare. Très tôt également, il s’enthousiasme pour l’écriture et publie ses premiers poèmes peu avant sa 10ème année. Au fil de son adolescence, il continue d'écrire de manière prolifique, joue dans plusieurs groupes de rock et arpente les scènes de Suisse romande. Son bac en poche, il part en Californie où il participe au lancement d’un programme de lutte contre l’exclusion sociale qui se verra récompensé du Président Clinton Award en 1995. Il s’initie à la musique traditionnelle américaine (folk, bluegrass, old-time, etc.). De retour à Genève, il publie de nombreux textes littéraires ou journalistiques et rejoint des formations musicales comme Outsyde Inn, au sein desquelles il joue de la guitare, du clavier et de la mandoline. Aujourd’hui, Gilles continue de mettre à profit son esprit créatif dans le cadre de projets artistiques, en parallèle de son activité de directeur au sein d’une banque.
Aujourd’hui rédacteur en chef des radios de l’arc jurassien du groupe BNJ FM, il a aussi animé des émissions dédiées à la jeunesse pour le compte de la Radio Télévision Suisse et de plusieurs télévisions de la francophonie. Il découvre le chant grâce à la musique sacrée et classique. Formé par le ténor Frédéric Gindraux, il chante dans les choeurs de l’opéra de Lausanne ainsi qu’à l’opéra d’Avenches entre 1998 et 2005. Parallèlement, il participe aussi à plusieurs ensembles de musique ancienne en Suisse romande. Aux côtés du pianiste fribourgeois François Ingold, il explore également le répertoire Jazz. Lorsque son frère Philippe et son ami Gilles Roux lui proposent de prêter sa voix aux Horloges, il accepte sans hésiter, certain de vivre une expérience musicale inédite et inoubliable.
Disquaire, il ouvre en 1995 le magasin « Stigmate Records » à Genève. Il a fait partie de divers groupes aux Etats-Unis et côtoyé bon nombre de musiciens connus. Il a aussi organisé des concerts, dont Magma, et participé à diverses tournées, dont MC5 avec le groupe suédois Dollhouse. À la guitare, son jeu décoiffant est caractérisé par une intensité technique et un sens mélodique auxquels même le gel capillaire le plus puissant ne saurait résister.
Il commence la guitare classique à 10 ans et se tourne ensuite vers la Bossa nova, le Jazz puis le Rock. Il a apporté sa touche personnelle à d’innombrables formations aux tendances diverses (garage, acid Rock, funk, musique progressive…) Depuis 2007, il se spécialise dans la percussion afro-brésilienne et cubaine, qu'il pratique avec, entre autres, André Passarinho et Reinaldo "Flecha" Delgado. Il est aussi diplômé de l’École polytechnique fédérale de Lausanne et ingénieur au sein d’une entreprise suisse.
Né en 1970, il a étudié la batterie au Conservatoire de Delémont (Suisse) dans la classe d'AlainTissot. Il s’est produit en Suisse et en Europe avec de nombreux projets musicaux allant du Rock au Jazz et de la musique improvisée à la musique contemporaine. Il a joué, entre autres, aux côtés de Hans Koch, Damo Suzuki, Jean-Claude Mourlevat, Dubravko Lapaine, etc. Multi-instrumentiste, il a composé pour des pièces de théâtre, des films et des performances. Parallèlement à sa profession d'infirmier, il enseigne la batterie à Neuchâtel.
Lauréat de plusieurs prix nationaux, il a, depuis plus de 30 ans, collaboré en tant que compositeur, directeur artistique, ingénieur du son ou producteur exécutif, avec de nombreux artistes et musiciens de renommée internationale, tels que Michel Colombier, Charles Aznavour, Nicole Croisille, St. Germain, ou encore Petula Clark pour laquelle il compose et réalise plusieurs titres. Anciennement chroniqueur musical à la Télévision Suisse Romande, David Hadzis est également membre votant des Grammy Awards.
Musicien depuis l’âge de 8 ans, jeune prodige, il a remporté plusieurs prix (dont le Prix Max Francis) aux concours de l’Accordéon Club de France (ACF). Il est membre actif au sein de plusieurs formations (Half a Cup of Superkings, Rambling Wheels) en tant qu’accordéoniste, claviériste et ingénieur du son. Il compose aussi l’illustration sonore de courts-métrages, d’émissions de télévision et de pièces de théâtre. Il est professeur à l’Académie de Musique MCA à Neuchâtel.
Joana affûte ses crayons sur les bancs du Collège Voltaire de Genève, où elle décroche le Prix Hentsch pour les meilleurs résultats dans le domaine de l’art. Elle poursuit ses études à Lyon, au sein de l’école de dessin Emile Cohl et signe la mise en images du livre Ma Princesse (Ed. Bellier). D’autres de ses créations remportent le Prix de la Bibliothèque de Lyon ainsi qu’un prix au Festival du livre jeunesse d’Audincourt. Son diplôme en poche, elle revient poser son chevalet à Genève où elle honore de nombreuses commandes telles que cartes de voeux pour l’ONU, puzzles pour enfants, fresques, visuels en tous genres, affiches et bien sûr des illustrations de contes et livres pour enfants, tels qu’Une histoire de fou pour les Atomes Crochus. Elle obtient un diplôme de « Graphic designer » en 2012. Elle enseigne aujourd’hui à l’école d’art IPAC-Design à Genève, à l’Ecole d’arts visuels Ceruleum de Lausanne, aux Créateliers de Genève, ainsi qu’à l’école l’Athenaeum de Renens.
Entre autres intérêts, Stéphanie a un goût prononcé pour la transmission de connaissances et a suivi des études pédagogiques, simultanément avec un Master en ingéniorat commercial à HEC Liège, en Belgique. A 22 ans, elle a terminé première de sa promotion dans les deux cas, avec les félicitations du Jury. Elle a débuté sa carrière au sein d'une grande multinationale dans le domaine de la gestion de marque. En parallèle, en 2008-2009, elle a donné des cours bénévoles hebdomadaires de rattrapage scolaire pour adolescents en situation précaire. En 2010, elle a rejoint le conseil de direction de la Croix-Rouge genevoise, où elle dirige notamment des activités d'entraide en faveur d'enfants. Elle a rédigé un livre de management destiné aux cadres des secteurs sans but lucratif, intitulé La performance à but humain, qui sortira en 2016. Elle est aussi l’heureuse mère de deux enfants à qui elle fredonne, bien sûr, des chansons des Horloges.
Parallèlement à sa formation universitaire, Sandrine Gasser a étudié le chant classique au Conservatoire de Neuchâtel dans la classe de Charles Ossola, puis au Conservatoire de Fribourg auprès de Marie-Françoise Schuwey. Membre régulière du chœur de l’Opéra de Lausanne depuis 1999, elle est également choriste et soliste dans de nombreux ensembles très actifs, se produisant aussi bien en Suisse qu’à l’étranger : chœur de musique orthodoxe Yaroslavl’ (dirigé par Yan Greppin), chœur de musique Renaissance In illo tempore et ensemble de musique médiévale Flores harmonici (dirigés par Alexandre Traube). D’origine jurassienne, elle possède également une jolie horloge neuchâteloise au tintement clair et délicat.
